Bilan 4 ans zéro déchet

En lisant mes blogs écolos préférés ces derniers, je me suis rendue compte que beaucoup de blogueuses green avaient commencé leur démarche zéro déchet en 2015, en même temps que moi. Il est donc temps de faire, moi aussi, un bilan !

Cela fait donc 4 ans (soit à peu près au moment où j’ai rencontré mon mari) que je suis dans une démarche zéro déchet. C’est aussi à ce moment là que j’ai ouvert ce site pour partager mes expériences, mon apprentissages, mes petites astuces et même mes échecs.

Nous avons eu des hauts et des bas, des moments d’euphorie et de totale réussite, des coups de mous et du rétropédalage. Mais nous avons tenu le cap malgré tout. Aujourd’hui, avec un peu plus de recul et d’autocritique qu’à mes débuts (et aussi avec un peu plus d’assurance), j’aimerais faire avec vous le bilan des ces 4 ans.

Qu’est-ce qui a vraiment changé dans ma vie ? Quelles sont les habitudes que j’ai prises et celles que j’ai abonné ? Mes priorités ont-elles changé ? Quelle est notre organisation au quotidien ? Voyons tout cela ensemble.

L’alimentation

Ma démarche vers le zéro déchet coïncide avec mon cheminement vers le végétalisme. C’est un sujet que je n’aborde plus vraiment sur mon blog, bien que cela reste au centre de mes pensées et préoccupations majeures. En 2014, suite à un bouleversement personnel assez dramatique (combo fatal rupture + perte d’emploi + retour chez mes parents), j’ai traversé une période très compliqué émotionnellement.

C’est à ce moment là que j’ai commencé à regarder des vidéos de défense animale et à lire des articles pro-végéta*isme. Sur un coup de tête, j’ai décidé de devenir végétarienne. Je ne vais pas vous refaire tout l’historique mais au cours des 3 années suivantes (de 2014 à fin 2018) je suis passé par plusieurs phases : végétarienne puis végétalienne puis flexitarienne, à nouveau végétalienne puis omnivore et enfin flexitarienne (ou végétarienne à temps partiel comme j’aime le dire).

Pour des raisons de santé et de bien-être personnel, j’ai réintroduit la viande dans mon alimentation. J’essaie aujourd’hui de trouver un nouvel équilibre entre mes convictions, mes besoins et mes envies. J’ai la chance d’être entourée de personnes (véganes ou non) compréhensives qui me soutiennent et m’aident dans ce parcours. Je ne cherche pas à me justifier car je ne dois rien à personne mais j’aimerais simplement passer un message : devenir végane n’est pas facile pour tout le monde, cela peut demander du temps et parfois le corps et/ou l’esprit ne suit pas. Il ne faut pas s’en vouloir mais plutôt ralentir et essayer de comprendre.

J’espère sincèrement revenir à une alimentation, sinon végétalienne, au moins végétarienne dans les mois ou années à venir.

Les courses en magasin

Du côté des courses, nous avons aussi traversé quelques turbulences ! Lorsque j’ai emménagé avec mon amoureux, nous faisions nos courses hebdomadaires au supermarché (pas dans une très grande surface, mais en supermarché quand même). Puis, j’ai commencé à aller au magasin bio près de chez nous pour les fruits et légumes, les produits végétariens et quelques denrées introuvables en supermarché (purée d’amande, tempeh, etc.). Au bout de quelques mois, notre alimentation étant essentiellement végétale, nous sommes passés au 100% bio. Ce fut une grande fierté et une source de joie pour moi ! Je pouvais faire mes courses à pied et presque sans emballage.

Malheureusement, au bout d’un ou deux ans, l’augmentation des prix dans mon magasin et la dégradation de l’amabilité du personnel m’ont fait fuir. A nouveau, nous étions sur un schéma supermarché + magasin bio pour quelques produits (dont le vrac). Nous avons essayé, pendant un temps, de prendre nos fromages chez le fromager et de la viande chez le boucher mais les prix sont plus élevés (et certains mois c’est plus difficile que d’autres) et cela nous oblige à faire des trajets en voiture supplémentaires. Ce mois-ci des difficultés personnelles nous obligent à faire au plus rapide et au moins cher mais j’espère rapidement avoir à nouveau le temps de me rendre au magasin bio.

Vous me direz, pourquoi ne pas se tourner vers les produits locaux ? Eh bien nous avons essayé de trouver des alternatives locales mais aucune ne nous a pleinement satisfait. Il n’y a pas de marché dans ma ville, ce qui oblige à aller dans la ville d’à côté. Je dois avouer que cela nous a pas mal démotivé (prendre la voiture, rouler 15 min, trouver une place, marcher encore 10-15min, et rebelote en sens inverse). Un nouveau marché producteur a ouvert dans notre ville depuis septembre mais pour le moment il n’y a que 3 ou 4 stands et il ne se tient qu’une fois par mois.

Les alternatives locales

Quant aux autres solutions, ce n’est guère mieux : la liste d’attente pour une place en AMAP est longue quand le bras et les jours de distributions ne collaient pas à notre emploi du temps. Idem pour les paniers bio et autre système de livraison (mon mari travaille de nuit et part avec la voiture à 18h30, ça limite les possibilités !). Et puis surtout j’ai peur de ne pas avoir quoi faire de mon panier ni comment le cuisiner. J’ai une organisation en cuisine qui fonctionne très bien pour nous (prévoir mes menus et ensuite faire mes courses), et je ne suis pas sûre que faire l’inverse (recevoir le panier puis concevoir des menus puis faire des courses pour compléter) me convienne.

Et enfin, nous avons testé la Ruche qui dit oui ! au début de notre démarche mais cela n’a pas été concluant (trop de sachets plastique, quantité pas adaptées, manque de produits, etc.).

En résumé, la solution qui me conviendrait le mieux serait d’aller au marché. Nous espérons pouvoir déménager bientôt et pouvoir régler ce problème ! En revanche, s’il y a une chose sur laquelle je n’ai jamais transigé, c’est le vrac. J’y tiens beaucoup et même lorsque nous allons au supermarché, je prends le temps de temps en temps de faire un ravitaillement de céréales et légumineuses en vrac dans mon magasin bio.

La cuisine

Outre l’alimentation et les courses, ma façon de cuisiner à également changé. Depuis que je suis dans “la vie active”, j’ai adopté la lunch box pour le midi et je ne le regrette pas un instant. Quel plaisir de manger de bons petits plats maison le midi avec les collègues (surtout que j’ai une équipe en or et on a tous notre “gamelle” !). Au début j’avais une boite en verre mais ça pèse lourd dans le sac (#jenaipasdemuscles) et j’avais envie d’une box avec compartiments pour copier les sublimes lunchbox véganes de Alice Esméralda. Après de longues recherches, j’ai opté pour une lunchbox made in France de la marque MonBento.

J’essaie de manger davantage de fait-maison et j’utilise chaque jour ou presque mon Magimix. Il m’aide bien pour réaliser des plats rapidement et sans rester planté devant ma gazinière. Pour optimiser mon temps, je cuisine à l’avance grâce à la méthode du Batch Cooking (ou Meal Prep). Je conserve ensuite mes plats dans des boites en verre, des bocaux ou des boites sous vide. Je me suis offert l’année dernière l’appareil Be Save de Guy Demarle. Si vous souhaitez que vous en parle en détail, dites le moi en commentaires ! Sinon, j’utilise des charlottes de plats fabriqués par ma cousine (je vous invite à visiter sa boutique Sabfab). Quand je peux, je mets des plats préparés au congélateur.

Il me reste deux problèmes à résoudre : la flemme du vendredi qui finit généralement en plats à emporter et la mauvaise gestion des quantités. La plupart des recettes que j’utilise sont prévues pour 4 ou 6 personnes et je dois bien souvent adapter pour 2 parts. A cause de mauvais calculs je me retrouve souvent avec des restes que personnes n’a plus vraiment envie de manger au bout de la 3e fois…

Mon objectif pour la suite, c’est de continuer à cuisiner et d’éliminer de façon durable les produits transformés qui sont facilement réalisables à la maison (pâte à tarte et soupes notamment).

La salle de bain

Que de changement aussi dans la salle de bain en 4 ans ! Comme pour le reste de la maison, j’ai commencé tout feu tout flamme en bannissant tous les produits emballés. J’ai totalement réinventé ma routine de soin pour adopter des ingrédients solides sans emballage et naturels. A nous la brosse à dent en bambou, le dentifrice en poudre, le shampoing solide, le déo en pot, les cotons lavables le joli peigne en bois !

Et puis ça n’a pas duré. Petit à petit, des problèmes sont apparus et nous ont obligé à changer de cap. Nous avons du tester plusieurs produits pour trouver des solutions durables qui nous conviennent. Par exemple, nous avons opté pour des brosses à dent à têtes changeables adapté à notre dentition (plus ou moins souple, plus ou moins grande) plutôt qu’une brosse à dent standard en bois ou bambou. Le shampoing solide a fini par littéralement bousillé mes cheveux et j’ai du revenir à des shampoings en bouteille vendus en pharmacie pour rattraper les dégâts. Il me semble avoir lu plusieurs témoignages à ce sujet. N’hésitez pas à essayer plusieurs marques afin de trouver celui qui vous correspond !

Pour le lavage du corps aussi, nous avons pas mal tâtonné. Contrairement à mon mari, j’ai la peau très sensible et sujette aux irritations depuis toute petite. Les savons, même surgras ou saponifiés à froid, me laissent la peau sèche. Seules les huiles lavantes ou les gels douches doux bio me conviennent. J’espère pouvoir refaire un essai avec du savon d’Alep dans quelques temps. La seule chose que j’ai définitivement adopté ce sont les cotons lavables qui sont maintenant un indispensable de ma trousse de toilette.

En résumé, notre salle de bain est loin d’être 100% zéro déchet mais elle est résolument minimalisme. Nous avons très peu de produits, uniquement de quoi se laver (corps, cheveux, dents), quelques médicaments et une bouillotte.

Les règles au naturel

Du côté des règles, cela fait maintenant 4 ans que je n’ai pas utilisé une seule protection jetable ! C’est quelque chose qui est maintenant totalement ancré dans mon quotidien et j’oublie parfois à quel point c’est éco-bénéfique. Dans un premier temps j’ai remplacé les serviettes hygiéniques et les tampons par des versions bio puis par des serviettes lavables. Ensuite, j’ai adopté la coupe menstruelle. C’est une protection qui ne me convient de moins en moins et j’essaie de limiter son usage aux 2 premiers jours de mes règles.

Aujourd’hui, je privilégie les culottes menstruelles (j’espère trouver le temps de vous en parler prochainement) et cela a vraiment révolutionné ma vie ! Je suis totalement fan de ce type de protection et je ne porte plus que ça. Passer à des solutions écologique et moins intrusives m’ont permis d’améliorer ma connaissance de mon propre corps de femme, en particulier depuis que j’ai arrêté la contraception hormonale. C’est réellement libérateur de reprendre le contrôle de son cycle !

Les vêtements

Quoi de neuf du côté du dressing ? Dans mon armoire, je mène deux combats en parallèle : d’une part réduire mon nombre de pièces et mes achats, et d’autre part me tourner vers des solutions éthiques et durables. Je dois avouer que j’ai mieux réussi le premier que le deuxième !

Pendant un temps, je me suis sentie happée par la tendance de l’achat d’occasion en ligne (sur des sites comme Vinted ou Vide-dressing) et j’ai préféré m’en éloigner car je trouve ces plateformes beaucoup trop tentantes, chronophages et énergivores. On peut facilement s’y perdre et remplir son armoire en un temps record sous prétexte que c’est d’occasion et pas cher. Et puis j’ai eu trop souvent des problèmes avec des vendeuses… Habitant près de Paris, je pourrais aller dans des friperies mais je n’ai pas encore pris le temps de chercher de bonnes adresses et celles que j’ai déjà visité ne m’ont pas emballé. En clair je n’ai pas la patience ! Je sais que certaines blogueuses ont un don pour dénicher des pépites sur le marché de l’occasion mais c’est loin d’être mon cas ! Est-ce que quelqu’un voudrait bien faire mon shopping à ma place ?

Au cours des 4 dernières années, je me suis offert quelques vêtements de marques éthiques mais ce sont des achats très onéreux. Je suis bien évidemment consciente que ces prix sont, la plupart du temps, totalement justifiés. Cependant, pour les petits budgets c’est difficile de s’habiller de cette façon, même si ce n’est pas l’envie qui manque !

Les achats

Notre façon de consommer a changé aussi en 4 ans, mais pas suffisamment à mon goût. Je suis encore dans une phase où je fais des recherches avant d’acheter afin de trouver des alternatives durables, mais où je finis toujours pas acheter dans les circuits traditionnels. En clair, je n’ai pas encore passé le cap de l’achat d’occasion ! Tout comme pour les vêtements, je ne prends pas suffisamment de temps pour trouver ce dont j’ai besoin et je n’ai pas encore l’oeil expert de celles et ceux qui trouvent des trésors en faisant les brocantes. Les seuls achats que je fais d’occasion, ce sont les produits électroniques : nous avons acheté nos deux téléphones reconditionnés sur Back Market.

Le ménage

Le ménage est probablement le seul aspect de mon quotidien qui n’a pas changé depuis ma prise de conscience en 2015. Dès le début nous avons adopté des alternatives écologiques : éponges lavables, essuie-tout lavables, brosse pour la vaisselle, etc. Mon placard ne contient plus aucun produit chimique industriel et je nettoie toute ma maison avec du vinaigre et du bicarbonate (un article est en préparation à ce sujet !). J’ai même trouvé une recette pour nettoyer le fond des toilettes, ce qui est sans doute ma plus grande fierté.

Voila pour ce bilan 2015-2019 ! J’espère que cet article vous plaira et vous sera utile 🙂 J’attends vos retours en commentaires avec impatience !

Cet article a 17 commentaires

  1. Pascale

    Si ta peau est sensible et sèche rapidement, inutile d essayer le savon d Alep. Des 4 savons solides que j’ai testé c est celui qui m a rendu le plus comme un lezard… pour le coup, contrairement aux autres, j ai arrêté de l’utiliser sans aller jusqu’ au bout.

  2. Sophie

    Ca me rassure je ne suis pas la seule !

  3. N~J

    Bonjour, j’utilise le savon à l’huile d’olive et il est très bien (l’odeur est un peu forte au début mais on s’y habitue très vite). Il est conseillé sur les peaux sensibles et sèches mais aussi pour les personnes et ayant de l’eczéma ou autre.

  4. Sophie

    Merci pour l’astuce, je vais essayer d’en trouver 🙂

  5. What What

    Hello Sophie,

    J’ai dévoré cet article !!

    Déjà bravo pour tout ce parcours et surtout pour ton honnêteté.
    Cela fait du bien de voir que parfois dans le zéro déchet on a beau essayer de faire de son mieux, on ne peut pas toujours être à 100% partout.

    En tout cas, c’est vraiment sympa de faire le bilan après autant d’années, c’est là aussi qu’on voit tout le chemin parcouru.

    Bises
    Justine

  6. Sophie

    Merci Justine 🙂 j’ai beaucoup aimé écrire cet article, cela m’a rappelé que même si j’ai parfois l’impression de stagner, j’ai quand même fait beaucoup 🙂

  7. Marine

    Bonjour,
    Effectivement quand on a la peau sensible c’est compliqué de trouver le bon savon, peut-être un savon pour bébé ?
    Avec justement le développement des savons durs il en existe de plus en plus. Ceux pour bébé sont souvent enrichis en produits hydratants tel lait d’annesse et/ou huile d’olive. Et la plupart du temps ça fonctionne 🙂

  8. Sophie

    Merci beaucoup pour ce conseil ! Je regarderai au rayon bébé la prochaine fois 🙂

  9. Fanny

    Merci pour cet article et pour votre honnêteté. Le zéro déchet est une démarche qui prend du temps et qui n’est pas linéaire. Pour ma part il n’y a plus de poubelle dans la salle de bain depuis qu’on a commencé cette transition il y a cinq ans et dans notre micro salle de bain, autant dire que ce n’est pas du luxe. J’ai moi aussi une peau hyper sensible et sèche depuis l’enfance et j’ai trouvé mon salut avec la marque savon story (gamme à l’avoine) que je trouve en vrac dans un institut de beauté naturel à côté de chez moi, mais je crois qu’ils ont une boutique en ligne. Du coup, j’en ai un dans le porte savon de la douche, du lavabo et de la cuisine (fini les mains croco) et son odeur est douce et discrète et même mon mari l’a validé.
    Je suis 100% d’accord avec vous sur la culotte menstruelle. Initialement, j’en avais acheté une pour faire du cheval (parce que perso, coupelle menstruelle et équitation chez moi ca ne fait pas bon ménage), mais depuis je l’utilise aussi pour la nuit et c’est un confort sans nom. Alors j’ai prévu d’en acheter une deuxième.
    Dans la cuisine aussi, on a réduit considérablement les emballages grâce aux courses en vrac/bio/végétales. Mais il reste deux points incompressibles : la nourriture des animaux (chat souffrant d’allergie et donc croquettes vétérinaires emballées dans un vilain sachet en plastique, et quelques friandises-soins dentaires pour le chien) et certains aliments frais que je ne trouve pas en vrac (yaourt de soja, falafel, tofu). Et, je n’ai pas encore eu le temps de me pencher sur le fait maison pour ces aliments là…et d’ailleurs je m’interroge sur le véritable bénéfice à faire mes yaourts maisons, parce que l’achat d’une yaourtière n’est pas non plus sans impact…Et parfois quand je suis trop fatiguée, il m’arrive en sortant du métro de faire un crochet par une enseigne de surgelé pour aller chercher une barquette de lasagnes…
    Mais comme vous le dites si bien, il faut s’accommoder des contraintes qu’on a (finances, temps, distance, famille) et faire de son mieux, ca ne doit pas devenir un dogme.
    Ce qui me demande le plus gros effort (financier), c’est ma garde-robe. J’ai stoppé totalement ma consommation de fast fashion et je n’achète plus que des marques éthiques et responsables, mais comme ca représente un budget important, j’ai réduis ma consommation de vêtement pour aller vers une garde-robe plus minimaliste, et quand je veux achter quelque chose soit j’attends les bonnes affaires (quand il y en a, parce que toutes les marques ne soldent pas, à juste titre), soit j’en parle à mes proches parce qu’un jean éthique peut faire un très bon cadeau collectif pour Noël, anniversaire ou autre occasion, soit j’économise…
    Bonne continuation dans votre trajectoire ZW

  10. Sophie

    Merci beaucoup pour votre témoignage Fanny 🙂

  11. florianrichardecologie

    Ah le zéro déchet !

    Ca donne parfois bien sur un papier, motivant et simple dans les articles, mais quand tu essaies de l’expérimenter vraiment, ça peut être plus compliqué :p

    Pour l’anecdote, on utilise beaucoup de bicarbonates (cuisine, déodorant, dentifrice..). Généralement les étuis sont en cartons.
    Et là, nous n’avions plus la même marque de disponible. Pour tant pis, on test l’autre, qui est également en carton.
    On l’ouvre, et devine quoi ? Un sachet plastique pour contenir le bicarbonate..
    Grrr :p

    Le zéro déchet n’est pas de tout repos, mais ça vaut le coup ^^

  12. Pauline

    Hello ! je viens de découvrir ton blog et je le trouve tout simplement trop cool !!! 🙂 Beaucoup de tes articles rejoignent ceux que j’avais sur mon ancien blog, et que je suis en train de refaire sur mon nouveau, c’est chouette de trouver des blogueuses avec les mêmes valeurs ! 🙂
    Bonne continuation

  13. Piton

    Bonjour
    Pour vos problémes de peau, allez voir sur le site internet ” comme avant”. Ils font des produits naturels qu’ils utilisent pour leurs enfants qui avaient des problèmes de peau. Ils ont une page facebook où ils partagent toute leur aventure depuis le début de la création de leur entreprise. Je viens d’acheter plusieurs de leurs produits. Si je peux vous posez une question : vos problémes dentaires venaient du dentifrice en poudre ou vraiment du fait que les brosses à dents étaient non adaptées? Et qu’avez vous acheté à la place? Merci d’avance

  14. Sophie

    Merci beaucoup Pauline 🙂

  15. Sophie

    Bonjour 🙂 merci pour votre astuce, j’irai voir leur site. Pour mes dents, je ne prends plus que du dentifrice au fluor en alternance avec du dentifrice bio aux plantes (marques Weleda je crois). D’après ma dentiste j’ai un émail fragile et m’a conseillé de prendre du dentifrice au fluor donc je suis ses conseils 😉

  16. Jen

    Merci pour cet article qui réconforte et encourage a poursuivre ses efforts.
    Le zéro déchets est parfois un casse tête pour moi. une âme d’écolo est sans doute en moi mais plein de questions viennent avec.
    exemple, j’ai acheté un lot de 6 lingettes tissus pour me demaquiller, mais comme 6 ne me suffisent pas j’achète encore ( même si bcp moins des cotons), et je me dis aussi que pour les nettoyer j’utilise de l’eau ( oh la planète) , voilà un de mes casses-têtes mais il y en a d’autres .
    sinon plus d’achat de produits ménager standard depuis bien 4/5 ans, pour opter pour du bicarbonate, savon noir, vinaigre blanc… Sauf que mon fils a eu un souci de peau donc j’ai stoppé la lessive maison, de peur que ça s’aggrave et depuis 6 mois je n’ai pas retesté.
    j’hésite à prendre de l’essuie tout en tissus et côté courses je cherche encore le mieu ( magasin de légumes + boucher 1fois/moi et congèle + drive pr compléter) sachant qu’étant a la campagne ( 8mn du 1er super et magasin de fruits/légumes) , nous sommes obligé d’utiliser la voiture donc souvent en revenant du travail. un drive en vrac zéro dechets va ouvrir non loin du travail donc j’attend de voir avec impatience, peut-être est-ce un début de solution.

  17. SophieP

    Bonjour, c’est vrai que l’on tatonne avant de trouver ce qui est faisable à long terme. Je continue de faire nos shampooings solides moi-meme car tout le monde en est ravi à la maison, mais j’ai arreté l’argile pour cause de cheveux rêches. A la place j’utilise fécule de maïs, poudre tres fine d’avoine. Comme huile c’est huile d’olive (mais le shampooing “fond” vite) ou olive et karité ou beurre de cacao si j’en ai. Je jongle avec les ingrédients que j’ai sous la main. Mon magasin fournisseur de SCI le vend maintenant en boite de carton compostable, j’aime mieux qu’avant sous sachet plastique bien sur.

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